TÉMOIGNAGES
Témoignages de professionnel
Claudine Gauthier,
Professeur des universités
Faculté d’anthropologie sociale et ethnologie
Université de Bordeaux
"À la tendance générale de la culture occidentale à vouloir imposer ses normes comme seules légitimes à l’échelle planétaire, l’anthropologue répond en dénonçant la paupérisation des cultures issue de ce phénomène. Le champ de la santé est tout particulièrement concerné. Aux pratiques médicinales ancestrales, et souvent millénaires, l’Occident rétorque volontiers : superstition. L’anthropologue préfère y reconnaître avant tout un savoir, un savoir faire dont il lui incombe d’apprendre le sens et les mécanismes avec toute l’humilité que lui impose les exigences de sa discipline.
Paradoxalement, peut-être, quelques professionnels de la santé d’Occident acceptent aujourd’hui pourtant d’apprendre, eux aussi, à cette vaste École que représentent les savoirs des cultures non occidentales. Ils y découvrent alors, notamment, la valeur allopathique de certaines plantes, utilisées ailleurs depuis des lustres pour leurs vertus médicinales. Manorama Mulin se situe au confluent de ces deux traditions, trop souvent considérées comme antithétiques.
Docteur en biologie, elle a étudié les qualités médicinales des plantes dans le cadre d’un projet européen international dirigé par l’université de Lisbonne. Elle a aussi reçu une longue et solide formation à la réflexologie plantaire, dont elle allie la pratique aux traditions ayurvédiques, que ses origines indiennes l’ont amenée à apprendre depuis son plus jeune âge. C’est donc comme une véritable initiation non pas à un, mais à de multiples savoirs dont elle possède une longue connaissance, qu’il faut concevoir le présent ouvrage. D’un point de vue personnel, et non plus académique, je rencontrai l’auteur de ce livre interpellée par le témoignage d’une amie, praticienne de l’ostéopathie, m’affirmant que les soins de réflexologie plantaire prodigués par Manorama Mulin avaient pu résoudre pour elle des problèmes de santé que l’allopathie s’était révélée impuissante à traiter.
Pour ma part, j’ai pu constater sur le plan physiologique un profond sentiment de détente mais, aussi, plusieurs effets mécaniques immédiats, comme par exemple le fait de sentir se déboucher, narine après narine, un nez obstrué par de vilains rhumes. J’ai noté, encore, que les diagnostics posés par Manorama Mulin à chaque séance venaient se superposer à ceux de mon médecin acupuncteur. Et je ne parlerai pas ici du plaisir que j’ai eu à découvrir cette riche et belle personne."
Témoignages de patients
Coralie, 51 ans,
Souffrante de compulsions alimentaires depuis quinze ans
« A 36 ans, j'ai été atteinte d'une sclérose en plaques. J'avais du mal à marcher et je souffrais.
Pour calmer mes angoisses liées à la maladie et sans doute aussi à mon passé de petite fille adoptée qui remontait à la surface, j'ai commencé à avoir des frénésies alimentaires. Les nuits, c'était l'orgie. Je cuisinais au micro-ondes un sablé avec 250 g de sucre, de beurre et de farine ou je faisais fondre une tablette de chocolat avec de la crème fraîche pour obtenir une ganache rapide. Je me réveillais dans un état comateux.
Dans la journée, je fréquentais les meilleures pâtisseries. En six mois, j'ai dû prendre 9 kg. J'ai vécu plusieurs années de yoyo. Je dévorais, puis je m'affamais en avril mai pour retrouver la ligne en été. Je me détruisais à petit feu, d'autant que l'inflammation engendrée par cette boulimie augmentait l'impact de la maladie.
Un jour, j'ai osé parler de mon obsession de gâteaux à une psychologue hypnothérapeute, Isabelle Célestin-Lhopiteau, recommandée par le médecin de mon centre antidouleur.
Après m'avoir écoutée et rassurée, elle a commencé avec sa voix d'ange à me faire respirer. Je me sentais totalement relaxée.
Elle m'a expliqué qu'elle créait ainsi un état de déconnexion, pour que mon cerveau interprète ce qu'elle me disait comme possible, l'objectif étant d'induire un nouveau comportement régulateur. Je me suis laissé guider. À un moment, la thérapeute a évoqué un éclair au chocolat. “Vous regarderez avec admiration ce gâteau, sans en avoir particulièrement envie ; vous savez qu'il contient du sucre rapide néfaste pour votre corps. Pensez à vos beaux vêtements, que vous aimez porter. Vous avez créé autour de vous une bulle de lumière qui protège votre enfant intérieur…” En sortant de cette première séance, je me sentais très bien, plutôt joyeuse. Je suis passée à la pâtisserie pour m'offrir un croissant aux pralines, mais j'ai été prise de nausées et je suis repartie de la boutique écœurée ! Ce dégoût du sucré a duré trois semaines jusqu'à un nouveau grand stress. J'ai repris cinq ou six séances d'hypnose, de plus en plus espacées, et mon addiction dévastatrice au sucre a disparu.
Résultat : je suis revenue à mon poids de forme (51 kg pour 1,65 m), mais, surtout, mon mode de fonctionnement interne a changé : j'ai désormais envie de vivre et de manger avec plaisir et sérénité.
Quand je sens arriver les vieux schémas autodestructeurs, j'ai des stratégies d'autohypnose. Installée dans un endroit confortable, je mets en place mon propre scénario. Les images défilent comme dans un film que je me projette. Je vois, par exemple, une grotte et j'y entre pour m'y promener avec tous mes sens en éveil. De quinze à vingt minutes après, j'en sors rassérénée, je n'ai pas envie de sucré. Je prends juste un verre d'eau chaude. La cuisine reste ma passion. Je confectionne toujours des gâteaux à étages pour mes amis, mais je n'y goûte plus ! »
Josiane,
Suivie en réflexologie plantaire ayurvédique depuis 2005.
"Lorsque Manorama m’a demandé d’apporter mon témoignage sur sa pratique de réflexologie plantaire ayurvédique sans hésiter j’ai répondu oui.
Je me rappelle très bien ma première séance, il y a plusieurs années, à laquelle j’étais venue à l’instigation de mon mari qui avait découvert le travail de Manorama qu’il avait trouvé génial ! Comme il n’est pas homme à s’emballer pour ce qui n’est pas thérapie traditionnelle j’avais suivi son conseil que je reconnais aujourd’hui après coup comme très éclairé.
J’ai tout de suite été sensible au doux accueil de Manorama, à sa préparation sèche et très agréable des pieds qu’elle enduit de farine de pois chiches. Cela commençait bien ! Son toucher, le travail de ses mains, la pression de ses doigts plus ou moins accentuée suivant l’endroit et/ou la pathologie à traiter, tout cela me mit dans une disposition d’esprit calme et sereine. A tel point qu’avant la fin de la séance je dormais profondément. J’ai vaguement senti à un moment que le travail de Manorama se faisait plus léger, plus enveloppant, plus huilé et c’était – déjà ! ai-je pensé – fini. J’étais très contente de ma séance mais un peu frustrée aussi. J’avais l’impression d’avoir raté quelque chose, de n’avoir pas su apprécier dans sa totalité et à sa juste valeur, le soin apporté puisque j’avais dormi de longues minutes.
Alors j’ai pris immédiatement en sortant de cette séance rendez-vous dans les semaines qui suivaient.
Et j’ai dormi magnifiquement à toutes les séances ultérieures !
Aujourd’hui je sais que mon organisme avait absolument besoin de ces temps de décompression qui lui permettaient de faire face à mon activisme forcené de l’époque. Je faisais en sorte de rencontrer Manorama toutes les 4 à 6 semaines.
Quand je sortais des séances j’avais beaucoup récupéré de ma fatigue, de mon manque de sommeil, j’avais retrouvé le « punch » nécessaire à la folle poursuite de mes activités professionnelles et familiales.
Quand j’écris ces lignes je pense qu’il fut vraiment dommage d’utiliser les bienfaits des séances pour me maintenir à flot et pour continuer ma vie fébrile et trépidante.
Et le couperet est un jour tombé, conséquence de cette folle vie qui m’emportait loin des miens et de moi-même.
Une pathologie assez rare du sang, non expliquée et inguérissable par la médecine allopathique, a été incidemment diagnostiquée à la suite d’une périphlébite.
Ce fut un coup de tonnerre dans ma vie jusqu’alors si agitée, d’autant que ma maladie minait toutes mes forces. Je me traînais littéralement et un beau jour j’ai dû cesser toute activité. Le poids de mon corps était un véritable fardeau, la fatigue était immense, mon moral était en berne.
En plus de mon traitement chimio-thérapeutique, je décidai de prendre toutes les mesures qui me redonneraient du courage, de la vigueur, de l’allant, de la joie de vivre.
La réflexologie plantaire fut alors inscrite à mon programme de retrouvailles avec mon corps, mes sensations, mes perceptions.
J’ai vu Manorama à raison d’une séance par semaine. Je sortais des séances cassées par la remise en place des énergies. Au fil du temps mes perceptions se sont affinées. J’arrivais à savoir quel point réflexologique Manorama travaillait car je le sentais dans mon corps.
C’était tout particulièrement probant lors du travail sur le côlon et la vésicule biliaire.
Je ne dormais plus pendant les séances. Je partageais avec elle des instants rares d’écoute, de compréhension, qui m’ont permis de découvrir des éléments cachés de ma lignée paternelle et maternelle.
En tout cas même si la maladie était toujours là, je me sentais beaucoup plus en forme, plus joyeuse aussi. Les massages de pieds agissaient comme un revigorant, comme un bain de jouvence, tout en me mettant dans un bain d’absolue quiétude. Ils me donnaient des ailes, me rendaient plus légère.
Un vrai miracle cette légèreté du corps et de l’esprit qui font qu’aujourd’hui je me rends avec toujours autant de plaisir aux séances.
Elles sont plus espacées qu’à la période très critique de ma maladie, encore présente au moment où j’écris ces lignes. Mais je sais qu’elles sont essentielles à mon équilibre de santé, qu’elles me permettent de vivre absolument normalement, qu’elles aident mon organisme à éliminer les toxines résiduelles du traitement allopathique, qu’elles me restituent une partie de mon pouvoir de guérison.
Et puis franchement,
c’est tellement agréable de s’aider soi-même, de prendre soin de soi, en recevant un massage des pieds !"
Thérèse,
Suivie en réflexologie plantaire ayurvédique depuis 2003 pour une luxation congénitale de la hanche.
"Lors de la première séance, douleur partout où les pouces se posaient, passaient (comme si des graviers, des morceaux de métal remontent à la surface). Douleur très vive mais qui semblait réveillée les os endormis (comme des volets rouillés forcés à s’ouvrir).
Impression de sentir les os et la colonne au point de les voir, de les visualiser et donc de suivre la douleur sur son trajet jusqu’à sa diminution très nette.
Dans la soirée (et après chaque séance) : détente, comme si le corps reprenait sa place, et puis très bon sommeil profond et récupérateur. Détente quasi instantanée au point de s’endormir parfois dans le métro.
Concrètement : douleurs lombaires presque disparues (et donc bassin plus souple) ; également plus de souplesse dans les articulations de la hanche, les muscles sont plus allongés, ont retrouvé leur longueur, et les crampes dans les mollets (si inconfortables dans la nuit) se font oublier peu à peu. Douleur à l’épaule très rapidement effacée (suite à luxation de l’articulation après glissement dans la baignoire).
Transit intestinal réactivé, ballonnements diminués et ventre plus souple au toucher.
Les « gargouillis » se font entendre au niveau de la vésicule biliaire très nettement et plusieurs fois au cours de la séance.
Très intéressant aussi : prise de conscience du corps physique (extérieur et intérieur) et support pour passer à un autre niveau de conscience."
Catherine,
Suivie en réflexologie plantaire ayurvédique depuis 1993.
"Que dire de mon expérience de la réflexologie avec Manorama ?
C’est une longue histoire qui a commencée il y a plus de 20 ans…
Je l’avais consulté à l’origine pour des poussées d’Herpès… les premières séances étaient assez surprenantes car après les dix premières minutes de pré-contact, je sentais comme une torpeur m’envahir et… sombrais dans un sommeil réparateur qui durait… la séance !
La réflexologie agissant sur le stress, rapidement j’ai pu noter une amélioration certaine des poussées, plus espacées et moins douloureuses, surtout si Manorama pouvait intervenir rapidement après les premiers signes.
Pendant toutes ces années j’ai consulté Manorama pour différentes pathologies : trouble du sommeil, constipation, maux de tête, stress…
A chaque fois, sans exception, il y a eu, un avant et un après, mon corps réagissait à la réflexologie, et recevait ce bien-être qui correspondait à ma demande.
Le stress, sujet de beaucoup de maux, est très bien géré par la réflexologie, on sent très vite tout le relâchement musculaire et la détente.
Toute ma famille est passée « entre les mains » de Manorama, plutôt entre ses doigts… mais si Manorama travaille avec ses doigts, elle travaille aussi avec tout son être, et c’est sans doute pour cela que les séances ressemblent plus à un état méditatif qu’à un massage.
Mes enfants, au moment de leurs concours, mais aussi ma mère, âgée alors de plus de 95 ans, appréciaient les soins, la détente et le partage de ces moments… cela était devenu un rituel, qu’elle réclamait et qui la ramenait pendant l’heure de la séance dans le monde réel qu’elle avait tendance à oublier ; c’était aussi un moment où son corps pouvait être touché avec respect, délicatesse et humanité… sans être intrusif. Un instant de Bonheur !...
Je voudrais terminer sur une situation que je viens de vivre et qui m’a remplie de joie…
En gardant mes sept petits-enfants (de 18 mois à 10 ans), j’ai institué un nouveau jeu à partager avec tous : le soir à l’heure où la tension monte, j’ouvrais « mon cabinet de réflexologie » (pour avoir beaucoup reçu… je pouvais donner !) et chacun défilait pour avoir ce moment magique de détente, d’entente, de partage et de calme… là où tous les petits secrets se dévoilent… S’ils gardent cette image de moi quand je ne serai plus là, je pense que je serai satisfaite !!! et la réflexologie continuera à travers le temps, à travers eux, aussi !"
Annick,
Suivie en réflexologie plantaire ayurvédique depuis 2012
"Adepte des médecines douces et des techniques de bien-être, pour leur approche globale de l'individu dans son milieu et son histoire, j'ai été orientée vers Manorama qui pratique la réflexologie plantaire au-delà de ce que je pouvais imaginer. J'ignorais encore les trésors que j'allais découvrir.
Lors de notre première rencontre, peu sûre de moi, je vivais alors des moments pénibles dus à des bouffées de chaleurs épouvantables, consécutives à l’ablation des deux ovaires. Son accueil fut chaleureux, et d'une sincérité non feinte, son sourire communicatif. Je me suis sentie assez vite rassurée et ai pu apprécier son écoute bienveillante, ses conseils à travers des questions pertinentes, sans jamais heurter, cherchant à mieux comprendre les causes des différents maux soulevés, allant bien au-delà de simples symptômes physiques, confortablement installée dans un cadre paisible, un espace relaxant.
Manorama agit sur vos pieds avec des huiles appropriées, choisies en fonction de la personne et de ses difficultés; ses mains agiles glissent ou s'attardent sur certains points repérés ayant plus de besoins que d'autres, avec justesse.
À la fin de la séance, il est intéressant de porter attention à ses effets positifs: le corps lourd, à mon arrivée, je repars avec une sensation de légèreté physique et mentale qui me remonte progressivement dans les jambes, les genoux - jusqu'au cœur. Comme si Manorama donnait vie à des sources un peu taries ou bouchées, parvenait à remettre de l'ordre et un fonctionnement optimum dans la structure de la personne, réussissait à travers les vertus de ses mains à rebrancher, à reconnecter les parties intérieures avec l'extérieur, dans une agréable sensation d'unité.
Le cœur plus léger après chaque séance, bien campée sur mes pieds, cette fois, je repars plus confiante - comment aurais-je pu imaginer que ce sentiment de bien-être pouvait passer par mes pieds…"
Dominique,
Suivie en réflexologie plantaire ayurvédique depuis 2008
J'ai découvert la réflexologie plantaire un peu par hasard. Mais le hasard existe-t-il ? Et si c'était elle qui était venue à moi, justement parce que j'en avais besoin ?
À l'époque, depuis plusieurs années déjà,
je recherchais le moyen d'aller mieux, ou comment évacuer le stress accumulé au quotidien, comment me détendre.
On m'a conseillé les massages, les massages ayurvédiques. J'ai suivi ce conseil et ai découvert l'Ayurvéda, cette médecine indienne traditionnelle qui remonte à la nuit des temps et qui considère la personne humaine comme un tout, une entité, corps et âme.
En me documentant sur la réflexologie plantaire, je me suis dit qu'il y avait quelque chose : comment apporter du mieux-être, de la détente par le massage des pieds.
C'était tellement surprenant!
Sceptique, j'ai malgré tout expérimenté. Et puis j'ai adhéré, j'ai même suivi une formation avec Manorama pour masser à mon tour, et aujourd'hui, régulièrement je reçois ses massages.
Que m'apportent-ils ?
Avant tout une formidable détente. Le calme et la bienveillance de Manorama me mettent en confiance. Je lui abandonne mes pieds. Vous ne pouvez pas savoir le bien que cela procure. Pendant une heure vous ne faites plus rien, on s'occupe de vous, on vous malaxe les pieds! Que du bonheur! Cette détente je la ressens physiquement. Moi qui ai toujours chaud, pendant la séance, à plusieurs reprises, je sens un flux froid me parcourir, des pieds jusqu'au bout des mains. La température de mon corps diminue. Cela ne dure pas longtemps, le flux disparaît aussi vite qu'il est venu, mais à la fin de la séance il faut que je me couvre et plusieurs fois déjà je me serais bien endormie.
Chaque séance est différente, votre corps n'est jamais le même. Selon les jours, certains endroits massés sont plus ou moins sensibles et certains points particuliers peuvent même être douloureux. Ces points sensibles, qui changent d'une personne à l'autre, renvoient à des parties précises du corps mais qui sont chez moi essentiellement l'estomac, le foie, la rate. Manorama s'adapte alors à ces sensibilités et accentue plus ou moins la pression de ses doigts.
Quelles améliorations ai-je pu constater ?
Une meilleure circulation sanguine, une atténuation des fourmillements dans les bras, une diminution des maux de tête, la disparition des bouffées de chaleur qui glacent le corps lorsqu’on se réveille trempé de sueur, la disparition des brûlures d'estomac.
La clé de tous ces bienfaits ?
Il n'y en a pas une mais plusieurs. Elles ouvrent des portes intérieures et permettent à des connexions, effacées car bloquées, de se rétablir, à des flux de retrouver le bon chemin, pour moi celui de la bonne santé.
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